Cela fait 30 ans qu'Andrei Filipov a dû arrêter de diriger son orchestre au Bolchoï pour des raisons politiques. Jusqu'à ce qu'une occasion se présente de jouer au Théâtre du Châtelet, à Paris. Andrei va alors reconstituer son orchestre pour pouvoir enfin jouer le Concerto de Tchaïkovsky... ce concert qu'il n'a jamais pu achever 30 ans auparavant. Pour cela, il demande à la célèbre violoniste française Anne-Marie Jacquet de jouer avec son orchestre.
Même si le film semble partir dans tous les tons au début, notamment l'équipe française un brin énervée et énervante, il prend superbement son envol à la 2nde partie. Lorsque le fameux concert commence, la musique prend réellement aux tripes. Car c'est aussi pendant le concert, par flashbacks interposés, que l'on comprend le fin mot de l'histoire, notamment sur le lien qui unit Andrei et Anne-Marie Jacquet. Un bel équilibre entre humour et émoi, avec une belle mise en valeur du Concerto de Tchaïkovsky. Si vous voulez vivre une jolie émotion musicale, n'hésitez donc pas à y tendre une oreille.
Même si le film semble partir dans tous les tons au début, notamment l'équipe française un brin énervée et énervante, il prend superbement son envol à la 2nde partie. Lorsque le fameux concert commence, la musique prend réellement aux tripes. Car c'est aussi pendant le concert, par flashbacks interposés, que l'on comprend le fin mot de l'histoire, notamment sur le lien qui unit Andrei et Anne-Marie Jacquet. Un bel équilibre entre humour et émoi, avec une belle mise en valeur du Concerto de Tchaïkovsky. Si vous voulez vivre une jolie émotion musicale, n'hésitez donc pas à y tendre une oreille.
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