Aliiiiiiiiice! Eh oui! La voilà enfin! La Alice de Tim Burton! Douce impatience qui m'a tenue jusqu'à ce 24 mars, jour de sortie du film... enfin plutôt jusqu'au 28 mars vu que je n'ai pas pu me précipiter de suite sur la 1ère salle de cinéma venue pour voir l'objet filmique. Mais patience tout de même récompensée... ou presque.
L'histoire? Vous devez sans doute la connaître grâce à Lewis Carroll. Alice s'ennuie en plein cocktail mondain. Jusqu'au moment où elle aperçoit un lapin blanc. Elle le suit et tombe malencontreusement dans un trou. Elle atterrit alors en plein milieu d'un pays merveilleux, entre absurde et loufoquerie...
Pourquoi patience presque récompensée? Eh bien parce que je n'ai finalement pas eu de grande surprise en voyant le film. Bon rythme et très belle esthétique, certes, mais j'en sors un peu sur ma faim, comme s'il avait manqué un petit quelque chose d'extraordinaire qui m'eût vraiment transportée au pays des merveilles. Le jeu de l'actrice principale, Mia Wasikowska, déjà repérée dans la série In treatment, est juste et intelligent. L'actrice a ce petit quelque chose de sage qui donne de la maturité au personnage d'Alice. La brochette d'acteurs qui l'entourent est évidemment toute aussi savoureuse, j'ai nommé Johnny Depp et Helena Bonham Carter (deux des acteurs fétiches de Mr Burton). Mais le film n'est pas assez empreint de la patte sombrement poétique du réalisateur. Le tout reste un bon divertissement, même si l'on ne sort pas complètement ébloui par cette nouvelle merveille burtonienne. A noter que la bande originale du film comprend non seulement les compositions de Danny Elfman, mais des titres interprétés par entre autres Avril Lavigne, Tokio Hotel, Franz Ferdinand ou Wolfmother... sans doute une volonté commerciale des Studios Disney...
Pourquoi patience presque récompensée? Eh bien parce que je n'ai finalement pas eu de grande surprise en voyant le film. Bon rythme et très belle esthétique, certes, mais j'en sors un peu sur ma faim, comme s'il avait manqué un petit quelque chose d'extraordinaire qui m'eût vraiment transportée au pays des merveilles. Le jeu de l'actrice principale, Mia Wasikowska, déjà repérée dans la série In treatment, est juste et intelligent. L'actrice a ce petit quelque chose de sage qui donne de la maturité au personnage d'Alice. La brochette d'acteurs qui l'entourent est évidemment toute aussi savoureuse, j'ai nommé Johnny Depp et Helena Bonham Carter (deux des acteurs fétiches de Mr Burton). Mais le film n'est pas assez empreint de la patte sombrement poétique du réalisateur. Le tout reste un bon divertissement, même si l'on ne sort pas complètement ébloui par cette nouvelle merveille burtonienne. A noter que la bande originale du film comprend non seulement les compositions de Danny Elfman, mais des titres interprétés par entre autres Avril Lavigne, Tokio Hotel, Franz Ferdinand ou Wolfmother... sans doute une volonté commerciale des Studios Disney...