J'avais un seul souhait pour me réconcilier avec le festival de Cannes: qu'Almodovar gagne enfin la Palme! Raté... je suis donc officiellement fâchée avec Cannes...
Le pitch du gagnant 2011 : on suit la vie de Jack, de sa naissance à sa mort. Ou plutôt de sa mort à sa naissance. Il grandit avec ses deux frères, et est élevé par une mère aimante et un père sévère.
Attention! Arnaque cannoise en vue. Sous ses airs de grande fresque familiale, le réalisateur invisible Terrence Malick nous plonge dans une réflexion psycho-religieuse. J'ai bien dû rester prostrée d'incompréhension pendant toute la première demi-heure du film. Du Big Bang aux premiers dinosaures, Terrence Malick a bien fait mumuse avec de jolies images de synthèse. Un complet hors-sujet. Le message? Je cherche encore. Quand "l'histoire" commence, j'avais déjà oublié que j'étais venue voir un film et non un documentaire scientifique. Le reste du film est très contemplatif, avec des plans dansant sur une musique omniprésente. En bref, un film très esthétique, avec quelques très belles images, mais qui devient vite ennuyeux. Trop d'onirisme tue l'onirisme.
Attention! Arnaque cannoise en vue. Sous ses airs de grande fresque familiale, le réalisateur invisible Terrence Malick nous plonge dans une réflexion psycho-religieuse. J'ai bien dû rester prostrée d'incompréhension pendant toute la première demi-heure du film. Du Big Bang aux premiers dinosaures, Terrence Malick a bien fait mumuse avec de jolies images de synthèse. Un complet hors-sujet. Le message? Je cherche encore. Quand "l'histoire" commence, j'avais déjà oublié que j'étais venue voir un film et non un documentaire scientifique. Le reste du film est très contemplatif, avec des plans dansant sur une musique omniprésente. En bref, un film très esthétique, avec quelques très belles images, mais qui devient vite ennuyeux. Trop d'onirisme tue l'onirisme.
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