Mais dites donc, depuis le temps que j'ai vu Agora, je ne vous en ai toujours pas parlé! Et pourtant ce film est un de mes incontournables 2010! Eh vi, j'en ai déjà décidé ainsi! Je ne vous cache pas que j'ai déjà derrière la tête quelques idées de mes prochains incontournables... 2010, l'année d'Alice! Bref... Revenons à nos bobines!
Agora donc, c'est le nouveau film d'Alejandro Amenabar, le réalisateur des Autres, d'Ouvre les yeux ou de Mar adentro. Il nous montre une fois encore qu'il arrive à traiter de tous les genres et avec talent. Quand on lui demande de quoi ce petit dernier film parle, le réalisateur nous présente le sujet comme une réflexion sur ce que les petits hommes verts pourraient observer depuis là-haut, et de comment ils pourraient nous juger en voyant ce que l'on fait de notre jolie planète bleue. L'histoire est en fait celle d'Hypatie, une grande astronome et philosophe du IVème siècle après JC, qui s'est battue pour la liberté de penser, sur fond de guerre entre communautés religieuses à Alexandrie.
Ce film prend des airs de film quasi actuel, vu comment tous les sujets narrés ici peuvent être transposés au présent. Plusieurs parallèles historiques peuvent être réalisés tels que la destruction des statues égyptiennes qui s’apparente à la destruction des Bouddhas de Bâmiyân, les «Alleluia » scandés violemment par les chrétiens qui pourraient faire penser à des « Allah Akbar », la destruction des livres de la grande bibliothèque qui s’apparente aux autodafés nazis. Mais le réalisateur soulève également d’autres grands sujets de réflexion tels que la condition de la femme, la liberté des esclaves et l’utilisation de la religion à des fins politiques. Tout cela en gardant comme fil conducteur romance et découverte astronomique. Un très beau scénario, des jeux d'acteurs superbes, des décors splendides, et une photographie magnifique, notamment lorsque le réalisateur s'attarde sur des hors-champs spatiaux assez somptueux. Le 1er film de 2010 à n'absolument pas rater!
Ce film prend des airs de film quasi actuel, vu comment tous les sujets narrés ici peuvent être transposés au présent. Plusieurs parallèles historiques peuvent être réalisés tels que la destruction des statues égyptiennes qui s’apparente à la destruction des Bouddhas de Bâmiyân, les «Alleluia » scandés violemment par les chrétiens qui pourraient faire penser à des « Allah Akbar », la destruction des livres de la grande bibliothèque qui s’apparente aux autodafés nazis. Mais le réalisateur soulève également d’autres grands sujets de réflexion tels que la condition de la femme, la liberté des esclaves et l’utilisation de la religion à des fins politiques. Tout cela en gardant comme fil conducteur romance et découverte astronomique. Un très beau scénario, des jeux d'acteurs superbes, des décors splendides, et une photographie magnifique, notamment lorsque le réalisateur s'attarde sur des hors-champs spatiaux assez somptueux. Le 1er film de 2010 à n'absolument pas rater!
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