Luc Besson a voulu adapter à l'écran la bande dessinée de Jacques Tardi. Enfin plutôt deux des neuf tomes publiés, tout ça en trois films. Ne vous attendez donc pas à une vraie fin, le réalisateur tient à ce que son public revienne en salle. Je dois avouer que j'aime moyennement cette stratégie. Pour moi un film est un film, 2e volet ou pas, il doit se conclure clairement. Mais bon, passons...
En bref, et pour ceux qui ne connaissent pas la BD, l'histoire se déroule au début du XXe siècle et met en scène Adèle Blanc-Sec, une journaliste qui part de reportage en reportage. Son voyage en Égypte, elle le fait plutôt à titre personnel, pour ramener à Paris la momie d'un célèbre docteur, le ramener à la vie et trouver ainsi un moyen de sauver sa sœur, plongée dans une léthargie totale. Pendant ce temps, un grand savant, Espérandieu, s'entraîne justement à réveiller les morts... et réveille ainsi un ptérodactyle qui va semer la panique au beau milieu de Paris.
Le tout donne un résultat tout à fait divertissant, amusant, bien rythmé. Seul petit hic: je m'attendais à une signature un peu différente et voilà que je me retrouve devant un Indiana Jones au féminin. Le réalisateur nous avait habitués à plus d'effet "wow". Mais à force de produire plutôt que de réaliser, il faut croire que sa patte s'est un brin "déwowée". Malgré tout, Louise Bourgoin ne s'en sort pas mal du tout, en donnant un sacré tempérament à son personnage, même si on loupe un mot sur deux de ce qu'elle dit tellement sa diction est rapide. Un bravo à la métamorphose de Mathieu Amalric, méconnaissable dans son rôle de méchant, Dieuleveult. Un bon moment donc, mais qui fait regretter le temps de Nikita, Léon et autre 5e élément.
En bref, et pour ceux qui ne connaissent pas la BD, l'histoire se déroule au début du XXe siècle et met en scène Adèle Blanc-Sec, une journaliste qui part de reportage en reportage. Son voyage en Égypte, elle le fait plutôt à titre personnel, pour ramener à Paris la momie d'un célèbre docteur, le ramener à la vie et trouver ainsi un moyen de sauver sa sœur, plongée dans une léthargie totale. Pendant ce temps, un grand savant, Espérandieu, s'entraîne justement à réveiller les morts... et réveille ainsi un ptérodactyle qui va semer la panique au beau milieu de Paris.
Le tout donne un résultat tout à fait divertissant, amusant, bien rythmé. Seul petit hic: je m'attendais à une signature un peu différente et voilà que je me retrouve devant un Indiana Jones au féminin. Le réalisateur nous avait habitués à plus d'effet "wow". Mais à force de produire plutôt que de réaliser, il faut croire que sa patte s'est un brin "déwowée". Malgré tout, Louise Bourgoin ne s'en sort pas mal du tout, en donnant un sacré tempérament à son personnage, même si on loupe un mot sur deux de ce qu'elle dit tellement sa diction est rapide. Un bravo à la métamorphose de Mathieu Amalric, méconnaissable dans son rôle de méchant, Dieuleveult. Un bon moment donc, mais qui fait regretter le temps de Nikita, Léon et autre 5e élément.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire