A partir d'une idée de court métrage, Joshua Safdie a décidé de réaliser son 1er long métrage pour en faire The pleasure of being robbed. Même si le film est à la fois une plume de légèreté et un élan de liberté, on sent que le court a été dilué au profit du long, et qu'il manque un petit quelque chose pour boucler la boucle, et fermer cette parenthèse enchantée.
On suit Eleonore, jeune femme aux petits penchants pique-poches, dans New York et ailleurs durant quelques jours. Son intention n'est pas de voler pour un bénéfice concret, du moins elle n'en a pas l'air, mais plutôt de s'approprier des morceaux de vie des autres à travers leur bric-à-brac personnel, trouvé au fond de leur sac. Un rituel à la "donne moi ce que tu as, je te dirai qui tu es".
Même si les images coulent naturellement et que les personnages ont ce petit quelque chose d'attachant et d'insaisissable, on en sort avec une impression de pas assez. On ne sait pas où on va, on se laisse porter, et on est finalement lâché au milieu de l'histoire avec le sentiment d'être un peu perdu, un peu démuni.
Un peu comme si on venait d'être volé... on ne sait juste pas vraiment si plaisir il y a ou pas...
On suit Eleonore, jeune femme aux petits penchants pique-poches, dans New York et ailleurs durant quelques jours. Son intention n'est pas de voler pour un bénéfice concret, du moins elle n'en a pas l'air, mais plutôt de s'approprier des morceaux de vie des autres à travers leur bric-à-brac personnel, trouvé au fond de leur sac. Un rituel à la "donne moi ce que tu as, je te dirai qui tu es".
Même si les images coulent naturellement et que les personnages ont ce petit quelque chose d'attachant et d'insaisissable, on en sort avec une impression de pas assez. On ne sait pas où on va, on se laisse porter, et on est finalement lâché au milieu de l'histoire avec le sentiment d'être un peu perdu, un peu démuni.
Un peu comme si on venait d'être volé... on ne sait juste pas vraiment si plaisir il y a ou pas...
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