Allez! Hop hop hop! Rentrée de vacances! Finis les plages et les cocotiers, retour aux voyages cinématographiques! Même si le soleil n'y est pas, il y a toujours moyen de se dépayser, non?
Alors que la Terre a été ravagée par des machines très mal intentionnées, un inventeur a créé 9 petites créatures de toile et de chiffon. Le n°9 va entraîner ses collègues dans une croisade contre ces grosses vilaines machines pour les sauver et sauver le globe.
Les animations sont d'une très grande finesse et précision. Les dialogues ne prennent pas beaucoup de place, laissant les images parler d'elle-même. Le scénario est cependant un peu trop simple et le sujet, assez sombre, oscille entre jeu de massacre et science fiction. Un film à déconseiller aux plus jeunes même si on parle ici d'animation. Au final, pour les plus grands, les animations valent tout de même le détour, tout cela accompagné d'une musique arrangée par Danny Elfman... oui oui, le Danny Elfman, compositeur attitré de Tim Burton.
Et une rentrée parisienne bercée par le son de la voix d'Elijah Wood n'est jamais une perspective désagréable pour mes petites oreilles!
J'avoue... voici tout simplement le SOS d'une vacancière en détresse...
J'ai donc décidé de lutter contre le jet lag ambiant et de filer devant une toile pour oublier la fin des vacances. Fatigue oblige, je n'ai pas voulu m'attaquer de suite à Inglorious Basterds et ai préféré attendre d'être fraîche et dispose avant de le visionner. J'ai donc misé sur 9, un film d'animation réalisé par Shane Acker, un petit nouveau dans le domaine, et produit par Tim Burton, maître en la matière d'animation 'noire' après son Etrange Noël de Mr Jack. On comprend d'ailleurs pourquoi Tim Burton a parié sur 9. Alors que la Terre a été ravagée par des machines très mal intentionnées, un inventeur a créé 9 petites créatures de toile et de chiffon. Le n°9 va entraîner ses collègues dans une croisade contre ces grosses vilaines machines pour les sauver et sauver le globe.
Les animations sont d'une très grande finesse et précision. Les dialogues ne prennent pas beaucoup de place, laissant les images parler d'elle-même. Le scénario est cependant un peu trop simple et le sujet, assez sombre, oscille entre jeu de massacre et science fiction. Un film à déconseiller aux plus jeunes même si on parle ici d'animation. Au final, pour les plus grands, les animations valent tout de même le détour, tout cela accompagné d'une musique arrangée par Danny Elfman... oui oui, le Danny Elfman, compositeur attitré de Tim Burton.
Et une rentrée parisienne bercée par le son de la voix d'Elijah Wood n'est jamais une perspective désagréable pour mes petites oreilles!
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