J'ai un peu hésité à aller voir District 9. Parce que des histoires de méchants extraterrestres, les producteurs de science fiction nous en ont déjà servis pas mal, et il faudrait une sacrée dose de créativité et de style pour nous surprendre. Mais j'aime toujours quand les critiques se bousculent, et sont très positives et très négatives à la fois. Ma curiosité ainsi attisée, je veux juger par moi même le sujet du litige.
Un vaisseau spatial débarque au-dessus de Johannesburg, Afrique du Sud. Une société privée, le MNU, crée alors un district où sont installés l'ensemble des passagers du vaisseau. 28 ans plus tard, le MNU, plus intéressé par l'armement des extraterrestres que par leur sort, veut évacuer l'ensemble de la population de crevettes (c'est ainsi qu'on appelle ces êtres venus d'ailleurs) dans un nouveau district complètement séparé de la population africaine. Le déménagement se fait de façon pas très évidente, et Wikus van der Merwe, un agent du MNU, est infecté par un fluide qui va peu à peu modifier son ADN.
Au premier abord, District 9 se présente quasi comme un docu-reportage pour glisser doucement dans la fiction. Une approche stylisée qui introduit plutôt bien le sujet. Le genre du film se balance entre action et dérision, avec des effets spéciaux réussis. J'ai parfois même retrouvé dans les effets et le ton un petit quelque chose qui me rappelait le film Starship Troopers. Même si ici, pour une fois, on nous présente des extraterrestres qui n'ont pas forcément envie de détruire la totalité du globe, mais souhaitent juste rentrer dans leur home sweet home inter galactique. Au final, le premier long métrage de Neill Blomkamp tire plutôt bien son épingle du jeu. Et grâce à lui, je me suis souvenue que la vérité était bel et bien ailleurs!
Au premier abord, District 9 se présente quasi comme un docu-reportage pour glisser doucement dans la fiction. Une approche stylisée qui introduit plutôt bien le sujet. Le genre du film se balance entre action et dérision, avec des effets spéciaux réussis. J'ai parfois même retrouvé dans les effets et le ton un petit quelque chose qui me rappelait le film Starship Troopers. Même si ici, pour une fois, on nous présente des extraterrestres qui n'ont pas forcément envie de détruire la totalité du globe, mais souhaitent juste rentrer dans leur home sweet home inter galactique. Au final, le premier long métrage de Neill Blomkamp tire plutôt bien son épingle du jeu. Et grâce à lui, je me suis souvenue que la vérité était bel et bien ailleurs!
En effet, ce film est une excellent reportage-fiction ,qui a l'originalité de ne pas particulièrement prendre le parti d'une des deux races pour ce qui est de leur nature même,on peut tres bien comprendre les humains
RépondreSupprimerface à la négligence des aliens pour leur entourage(vol,détérioration de matériel,meurtre),et les humains ne sont pas bien vus non plus avec les expérimentations glauques sans scrupule,sans compter avec le district 10 qui est une sorte de pourrisoir dans lequel ils déménagent les crevettes.