Il a suffi d'un coup d'œil sur le casting pour me donner envie d'aller voir Brothers. Natalie Portman, Jake Gyllenhaal et Tobey Maguire...! Que demander de plus! De jeunes acteurs brillants et bourrés de charme. Je connais le réalisateur, Jim Sheridan, seulement via son film In America, un film touchant, où de petites larmes ont bien été versées, présentant une famille irlandaise sans le sou venant s'installer à New York.
Dans Brothers, on reste sur le ton de la tragédie, mais dans un tout autre thème: le Capitaine Sam Cahill doit repartir en Afghanistan et laisser une fois de plus sa femme, Grace, et ses deux petites filles chez lui, aux Etats-Unis. Il est soudainement déclaré disparu. Son frère, Tommy, prend alors soin de la petite famille. Sam est finalement retrouvé, à la grande surprise et joie de tous, et rentre, traumatisé de son expérience afghane.
In America frôlait déjà un brin le mélo mais restait tout de même émouvant. Ici, on est à nouveau à cette dangereuse frontière, avec un scénario qui glisse parfois dans le larmoyant. Les personnages sont magnifiquement interprétés, de Tobey Maguire en soldat abîmé par ce qu'il a vu et vécu, à Natalie Portman en jeune veuve. Le scénario se tient bien, en alternant les points de vue, entre la violence de la guerre et des tortures que Sam subit, et l'ambiance familiale autour de Grace. Mais il y avait malheureusement une petite pointe de 'too much' qui m'a parfois gênée. Une mention spéciale pour les deux petites filles, Taylor Geare et Bailee Madison, qui se débrouillent joliment bien.
In America frôlait déjà un brin le mélo mais restait tout de même émouvant. Ici, on est à nouveau à cette dangereuse frontière, avec un scénario qui glisse parfois dans le larmoyant. Les personnages sont magnifiquement interprétés, de Tobey Maguire en soldat abîmé par ce qu'il a vu et vécu, à Natalie Portman en jeune veuve. Le scénario se tient bien, en alternant les points de vue, entre la violence de la guerre et des tortures que Sam subit, et l'ambiance familiale autour de Grace. Mais il y avait malheureusement une petite pointe de 'too much' qui m'a parfois gênée. Une mention spéciale pour les deux petites filles, Taylor Geare et Bailee Madison, qui se débrouillent joliment bien.
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