Voilà que l'on continue dans les films autour de l'univers carcéral. En version espagnole cette fois! J'avais déjà survalidé "Un prophète" et "Dog Pound". Allons-y donc gaiement pour "Cellule 211", qui au passage a remporté une tripotée de prix à la cérémonie des Goyas 2010.
Juan vient visiter la prison où il doit commencer à travailler comme surveillant dès le lendemain. Mauvaise pioche: c'est ce jour-là que les prisonniers ont organisé une grosse mutinerie. Juan est pris au piège au milieu des détenus et se fait du coup passer pour l'un des leurs.
A noter que j'ai tout de même failli tomber dans les pommes et/ou vomir tout mon dîner devant la 1ère scène du film, j'ai nommé une taille de veines, gros plan sur les bras mutilés, depuis la fameuse cellule 211. L'utilisation de la violence dans certaines scènes paraît parfois un peu forcée, comme un bon prétexte pour choquer. Mais on reste tout de même accroché au fil de l'histoire, et on finit par ne plus trop savoir qui croire entre les deux camps, matons vs détenus. Attention, on est ici à un niveau en-dessous des films cités en début d'article, avec quelques personnages un brin caricaturaux. Mais ce thriller reste fort et prenant, retournement dramatique de situation à la clé. Une nouvelle grosse baffe. J'en ai encore mal aux bras dites donc.
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