J’attendais beaucoup de The Reader. Peut-être pour l’Oscar de Kate Winslet, peut-être pour la finesse du jeu de Ralph Fiennes, peut-être pour le Billy Elliot adoré déjà réalisé par Stephen Daldry… Mélangez toutes ces raisons et vous obtiendrez une spectatrice fébrile, dans l’attente du début de la séance, toute impatiente après sa semaine de vacances (toute ressemblance avec une personne existante ne saurait être que fortuite…).
Et bien figurez-vous que je suis drôlement mitigée par le résultat.
1965 : Michael Berg, 15 ans, rencontre Hanna, 35 ans. Une passion débute, entre école de la chair et école littéraire. Avant le plaisir, Hanna veut que Michael lui fasse la lecture. Il la perd soudainement de vue et la revoit 10 ans plus tard... Pendant un procès jugeant d'anciennes gardiennes d'un camp de concentration. Hanna est au banc des accusés...
Le jeu de Kate Winslet est certes épatant, mais on savait déjà qu’elle était très bonne actrice, grâce notamment à ses rôles dans Eternal Sunshine of a Spotless Mind ou surtout dans Les Noces Rebelles. Seulement, le côté tragico-dramatique du film frôle le mélo un peu naïf. Peut-être parce que le sujet est traité à travers les yeux de ce jeune garçon, face à son premier amour, sa première passion? Ou peut-être est-ce à cause de la distance et de la fierté du personnage d'Hanna? Ou à cause de sa culpabilité ou pas lors du génocide? Pourtant l'histoire est gravement touchante. Mais le réalisateur a choisi de ne pas prendre parti quant à la position délicate d'Hanna, ce qui nous laisse entre deux eaux face à un sujet sensible.
Et bien figurez-vous que je suis drôlement mitigée par le résultat.
1965 : Michael Berg, 15 ans, rencontre Hanna, 35 ans. Une passion débute, entre école de la chair et école littéraire. Avant le plaisir, Hanna veut que Michael lui fasse la lecture. Il la perd soudainement de vue et la revoit 10 ans plus tard... Pendant un procès jugeant d'anciennes gardiennes d'un camp de concentration. Hanna est au banc des accusés...
Le jeu de Kate Winslet est certes épatant, mais on savait déjà qu’elle était très bonne actrice, grâce notamment à ses rôles dans Eternal Sunshine of a Spotless Mind ou surtout dans Les Noces Rebelles. Seulement, le côté tragico-dramatique du film frôle le mélo un peu naïf. Peut-être parce que le sujet est traité à travers les yeux de ce jeune garçon, face à son premier amour, sa première passion? Ou peut-être est-ce à cause de la distance et de la fierté du personnage d'Hanna? Ou à cause de sa culpabilité ou pas lors du génocide? Pourtant l'histoire est gravement touchante. Mais le réalisateur a choisi de ne pas prendre parti quant à la position délicate d'Hanna, ce qui nous laisse entre deux eaux face à un sujet sensible.
J'aurai donc préféré Stephen Daldry dans la danse plutôt que dans les bouquins... A voir ce que cela donnera avec les comics dans son prochain film, actuellement en développement.
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