Inspiré d'un fait réel qui a marqué le Brésil en juin 2000, le film nous amène dans ce fameux bus 174, où un jeune prit en otage tous les passagers. Les personnages, le contexte et le décor sont peu à peu plantés jusqu'à cette fin dramatique.
Alessandro est volé à sa mère par le chef d'une favela, alors qu'il n'est qu'un bébé. Sandro est dévasté suite à la mort de sa mère, tuée dans son bar par des pilleurs. Plusieurs années passent. Les chemins des deux garçons se croisent, alors qu'ils vivent seuls à Rio, entre vagabondage et banditisme. D'après eux, "L'argent ça ne se gagne pas, ça se prend". Tous les deux sont surnommés 'Alé'... Arrive alors la mère d'Alessandro, qui cherche son Alé depuis plusieurs années... Tout se complique quand les 2 jeunes se brouillent et que l'un décide de prendre la place de l'autre...
Même si tous les acteurs du film sont des non-professionnels, réalisme et sincérité s'en dégagent... d'où un résultat poignant et d'une grande violence. Violence non seulement par les images, mais aussi par le contexte douloureux des personnages et les conditions de vie cruelles de ces gamins des rues, livrés à eux-même, et où la loi du chacun pour soi l'emporte. Le dénouement du film dans le bus est brutal, et la claque en est d'autant plus cinglante.
Un sujet dans la veine de la Cité de Dieu (écrit d'ailleurs par le même scénariste Braulio Mantovani) dur et prenant. Âmes fragiles s'abstenir.
Alessandro est volé à sa mère par le chef d'une favela, alors qu'il n'est qu'un bébé. Sandro est dévasté suite à la mort de sa mère, tuée dans son bar par des pilleurs. Plusieurs années passent. Les chemins des deux garçons se croisent, alors qu'ils vivent seuls à Rio, entre vagabondage et banditisme. D'après eux, "L'argent ça ne se gagne pas, ça se prend". Tous les deux sont surnommés 'Alé'... Arrive alors la mère d'Alessandro, qui cherche son Alé depuis plusieurs années... Tout se complique quand les 2 jeunes se brouillent et que l'un décide de prendre la place de l'autre...
Même si tous les acteurs du film sont des non-professionnels, réalisme et sincérité s'en dégagent... d'où un résultat poignant et d'une grande violence. Violence non seulement par les images, mais aussi par le contexte douloureux des personnages et les conditions de vie cruelles de ces gamins des rues, livrés à eux-même, et où la loi du chacun pour soi l'emporte. Le dénouement du film dans le bus est brutal, et la claque en est d'autant plus cinglante.
Un sujet dans la veine de la Cité de Dieu (écrit d'ailleurs par le même scénariste Braulio Mantovani) dur et prenant. Âmes fragiles s'abstenir.
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