Voilà un film qui s'est longtemps fait désirer. Censé être diffusé dans les salles l'été dernier, la sortie a été reportée à décembre. Je ne parlerai pas des "I love you Phillip Morris", "Shutter Island" et autres longs métrages qui se font attendre depuis maintenant plus de 3 mois. Un moyen de faire travailler ma patience (...ou plutôt mon impatience)!
Le soliste, c'est Nathaniel Ayers. Un sans-abri particulièrement doué au violon et fasciné par Beethoven. Un journaliste à la dérive du Los Angeles Times, Steve Lopez, le repère et décide d'écrire une chronique sur ce personnage assez mystérieux. Une amitié se crée ainsi peu à peu entre eux. Alors que Steve tente d'aider Nathaniel, c'est un peu Nathaniel qui va bouleverser l'existence de Steve.
Le réalisateur britannique Joe Wright nous avait habitués à des films d'amour d'époque. Après avoir réalisé Orgueil et préjugés et Reviens-moi, voilà qu'il nous présente une jolie histoire d'amitié à travers une histoire vraie, inspirée du livre "The Soloist: A Lost Dream, an Unlikely Friendship, and the Redemptive Power of Music" écrit par le journaliste Steve Lopez lui-même. Le scénario se perd légèrement, à la fois un peu maladroit et un peu brouillon. Mais les acteurs, Robert Downey Jr et Jamie Foxx, sont drôles et touchants, même s'ils en font parfois un peu trop. La photographie est particulièrement superbe. Je garde en mémoire le plan où la caméra s'élève dans les cieux de Los Angeles sur un air de Beethoven au violoncelle, particulièrement transportant. Joe Wright montre de façon crue les quartiers pauvres de Los Angeles, et cela aide à donner une patte authentique au film. En bref, une symphonie dramatique avec quelques bémols, mais qui garde un ton global assez mélodieux.
Le soliste, c'est Nathaniel Ayers. Un sans-abri particulièrement doué au violon et fasciné par Beethoven. Un journaliste à la dérive du Los Angeles Times, Steve Lopez, le repère et décide d'écrire une chronique sur ce personnage assez mystérieux. Une amitié se crée ainsi peu à peu entre eux. Alors que Steve tente d'aider Nathaniel, c'est un peu Nathaniel qui va bouleverser l'existence de Steve.
Le réalisateur britannique Joe Wright nous avait habitués à des films d'amour d'époque. Après avoir réalisé Orgueil et préjugés et Reviens-moi, voilà qu'il nous présente une jolie histoire d'amitié à travers une histoire vraie, inspirée du livre "The Soloist: A Lost Dream, an Unlikely Friendship, and the Redemptive Power of Music" écrit par le journaliste Steve Lopez lui-même. Le scénario se perd légèrement, à la fois un peu maladroit et un peu brouillon. Mais les acteurs, Robert Downey Jr et Jamie Foxx, sont drôles et touchants, même s'ils en font parfois un peu trop. La photographie est particulièrement superbe. Je garde en mémoire le plan où la caméra s'élève dans les cieux de Los Angeles sur un air de Beethoven au violoncelle, particulièrement transportant. Joe Wright montre de façon crue les quartiers pauvres de Los Angeles, et cela aide à donner une patte authentique au film. En bref, une symphonie dramatique avec quelques bémols, mais qui garde un ton global assez mélodieux.
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